Je nuancerais un peu : un dossier solide, c'est *toujours* la base, peu importe les contacts. Sans ça, même le meilleur contact ne pourra pas faire de miracle. C'est un peu comme vouloir construire une maison sans fondations, ça ne tient pas.
C'est vrai que "conseilenfinance", c'est un peu le bazar dit comme ça... En fait, ce qui me titille le plus, c'est le conseil aux entreprises, genre aider les PME à optimiser leur gestion financière ou à trouver des financements. Les fusions-acquisitions, c'est un cran au-dessus, et la gestion de patrimoine, c'est pas trop mon truc. C'est plus clair comme ça ?
Dumbledore, c'est une excellente question ! Je suis dans le secteur de la cosmétique naturelle et bio. J'ai repéré une demande croissante pour ce type de produits là-bas, et je pense qu'il y a une belle carte à jouer, à condition de bien s'adapter aux spécificités du marché local, évidemment.
Bon, après quelques semaines de démarches, je reviens vers vous pour faire un petit bilan. Suite au conseil de Dumbledore, j'ai contacté l'ANDI. Effectivement, ils ont été d'une grande aide pour comprendre les spécificités du secteur de la cosmétique bio en Algérie. Ils m'ont mis en relation avec quelques acteurs locaux, ce qui a bien facilité les choses. Le dossier avance, lentement mais sûrement. Merci encore pour vos conseils précieux !
Si on résume, les points importants qui sont ressortis jusqu'ici concernent le choix de la structure juridique (SARL, SPA etc.) avec les implications que ça peut avoir niveau fiscalité et capital de départ, la nécessité d'un business plan solide et adapté au marché algérien, et l'importance de développer un réseau de contacts sur place pour faciliter les démarches administratives. On a aussi parlé de l'ANDI comme ressource potentielle et des zones géographiques les plus intéressantes pour le secteur de la cosmétique bio.