En pratique, beaucoup dépendra de la réussite de leur transformation. Si leur nouvelle stratégie s'avère payante, il est probable que d'autres institutions chercheront à s'aligner, au moins en partie. Cela dit, chaque banque a ses propres contraintes et spécificités, donc une copie conforme me semble peu probable. On pourrait davantage observer une adaptation des meilleures pratiques issues de cette transformation, si elle porte ses fruits.
Bon, eh bien, figurez-vous que j'ai contacté un ami qui bosse directement au Crédit Agricole 🤫. Il m'a dit que pour l'instant, c'est un peu le branle-bas de combat, mais qu'ils sont plutôt optimistes. Apparemment, l'idée, c'est pas tant de forcer les autres à suivre, mais plus de se positionner comme les "innovateursresponsables" du secteur. Reste à voir si ça prendra, hein 😅... Mais en tout cas, ça bouge ! Merci pour vos éclaircissements ! 🙏
L'optimisme de façade est de rigueur dans ce genre de situation, surtout en interne. Difficile d'imaginer un employé dire ouvertement que le projet est voué à l'échec. Gardons un œil sur les résultats concrets, c'est ça qui parlera au final.
Tout à fait, AtlasCoin. Et cet optimisme, même s'il est un peu forcé, peut avoir un impact psychologique non négligeable sur le moral des troupes. Si les employés y croient, même un peu, ils seront plus enclins à se donner à fond. C'est un peu comme quand on parie sur une action : si on pense qu'elle va monter, on est plus patient et on supporte mieux les fluctuations.
Bien vu, Carl Icahn Bantou17 ! La psychologie, c'est la moitié du boulot, surtout quand on parle de thunes. Faut que les mecs aient envie de se lever le matin, sinon, c'est mort.
Comptedegueux, t'as pigé le truc ! Faut leur vendre du rêve, même si le réveil risque d'être brutal. C'est comme la magie, faut y croire pour que ça marche... ou au moins faire semblant très convaincant !
Dumbledore, ton dernier message soulève un point indéniable : la nécessité de maintenir une narration positive, même si elle frôle la méthode Coué. Cependant, il serait imprudent de s'en tenir uniquement à cet aspect. Les employés doivent adhérer au projet, certes, mais une adhésion basée sur des illusions risque de se fracasser rapidement contre le mur de la réalité.
Il faut considérer des indicateurs tangibles, des objectifs clairs et mesurables. Le Crédit Agricole, avec la nomination d'Olivier Bérlorgey (si on en croit les infos qui circulent sur la direction financière et les mouvements attendus en mai 2025), doit impérativement traduire cette vision "innovanteetresponsable" en chiffres concrets. Par exemple, une augmentation de la part de marché dans un segment spécifique de X pourcent d'ici Y années, ou une réduction des coûts opérationnels de Z pourcent grâce à l'implémentation de nouvelles technologies.
Sans ces balises, l'enthousiasme initial risque de s'estomper rapidement, laissant place au cynisme et à la désillusion. La psychologie positive est un levier, mais elle ne saurait se substituer à une stratégie solide et à des résultats mesurables. On ne motive pas durablement des équipes avec de simples incantations.
Excellente analyse, AtlasCoin. Tu touches un point sensible. C'est bien beau de faire croire à une success story, mais si derrière y a pas de fond, ça tient pas. C'est comme un soufflé, ça monte, ça monte, et puis pschitt...
Et puis faut pas oublier un truc, les employés, ils sont pas idiots. Ils voient bien si les objectifs sont atteignables ou si c'est juste du vent. Si tu leur demandes de faire des trucs impossibles, ils vont se décourager et là, c'est la catastrophe. Faut un juste milieu entre l'ambition et le réalisme, sinon, tu perds tout le monde en route. C'est comme les impôts, trop c'est trop, les gens se barrent.
Pour résumer, on a parlé de l'impact potentiel de la transformation du Crédit Agricole, en soulignant que si leur stratégie fonctionne, d'autres banques pourraient suivre. On a aussi évoqué l'importance de l'optimisme (même forcé) en interne, mais avec la nécessité d'avoir des objectifs clairs et des résultats concrets pour que cet optimisme ne se dégonfle pas.
En effet, AtlasCoin, on pourrait dire que le CA doit joindre le geste à la parole pour que l'adhésion des équipes soit pérenne. Une communication transparente sur les défis, les risques et les objectifs réels me semble tout autant indispensable qu'un discours volontairement enjolivé. Sans cela, la motivation risque de s'éroder, laissant place à la suspicion et, à terme, à un désengagement préjudiciable.
Je pense qu'une solution pour que les employés adhèrent serait peut-être de les impliquer directement dans la définition de ces fameux objectifs. Genre, organiser des ateliers où ils pourraient donner leur avis sur ce qui est réalisable ou pas, et comment ils voient leur rôle dans cette transformation. Ca les responsabiliserait et ils se sentiraient plus concernés, non ?
Manon67, ton idée d'impliquer directement les employés dans la définition des objectifs est pertinente, et je dirais même, cruciale. L'adhésion, on l'a dit, ne se décrète pas, elle se construit. Et quelle meilleure façon de construire que de coconstruire ?
En orthophonie, par exemple, on sait que l'implication du patient dans la définition de ses objectifs thérapeutiques est un facteur déterminant de la réussite. Si le patient ne comprend pas pourquoi il fait tel ou tel exercice, s'il n'a pas l'impression d'être acteur de sa propre rééducation, les progrès sont souvent plus lents et moins durables. On parle souvent d'alliance thérapeutique. C'est transposable au monde de l'entreprise, je pense.
Dans le cas du Crédit Agricole, cela pourrait se traduire par des groupes de travail thématiques, des enquêtes internes régulières, des plateformes collaboratives où les employés pourraient partager leurs idées et leurs préoccupations. Il faudrait aussi une vraie transparence sur les contraintes et les enjeux, pour que les employés aient une vision claire de la situation et qu'ils ne se sentent pas manipulés.
Il serait intéressant d'analyser les chiffres du Crédit Mutuel Arkéa, qui a mis en place un modèle assez participatif. On pourrait comparer leur taux d'engagement des employés avec celui d'autres banques plus traditionnelles. Je suis persuadé qu'il y aurait des enseignements à en tirer. Une étude de la DARES de 2023 montre que les entreprises avec un fort niveau d'implication des salariés ont une productivité supérieure de 15% en moyenne. Ce n'est pas négligeable.
L'idée d'impliquer les employés dans la définition des objectifs n'est pas une solution miracle, mais c'est un levier puissant pour favoriser l'adhésion et la motivation. Encore faut-il que cette implication soit sincère et non instrumentalisée. C'est là tout le défi.
LogosSavant65, votre approche est pertinente. L'analyse comparative avec le Crédit Mutuel Arkéa et les données de la DARES viennent appuyer l'idée d'une implication accrue des salariés. Des indicateurs clairs sont indispensables. 👍 La transparence doit primer. 🏦
AtlasCoin, je suis d'accord, la transparence c'est hyper important ! C'est la base pour que les gens se sentent respectés et qu'ils aient envie de s'investir.
Et puis, je pense qu'il faut aussi que les objectifs soient alignés avec les valeurs de l'entreprise, mais aussi avec celles des employés. Si on leur demande de faire des trucs qui vont à l'encontre de ce en quoi ils croient, ça va être compliqué. Par exemple, si le Crédi Agricole veut se positionner comme "innovateursresponsables", il faut que ça se traduise concrètement dans leurs actions, et pas juste dans leur communication. Sinon, ça va sonner faux.
Et puis, il faudrait peut-être repenser la façon dont on évalue la performance des employés. Si on se contente de regarder les chiffres à court terme, on risque de passer à côté de trucs importants, comme la qualité du service client ou l'impact environnemental des activités de la banque. Une étude de l'ESSEC Business School a montré que les entreprises qui intègrent des critères extra-financiers dans leur évaluation de performance ont une meilleure performance globale à long terme. Faut voir plus loin que le bout de son nez, quoi !
Autre truc : la formation. Si on demande aux employés de s'adapter à de nouvelles technologies ou à de nouvelles façons de travailler, il faut leur donner les moyens de le faire. Des formations régulières, du mentorat, du coaching... Tout ça, ça peut aider les employés à monter en compétence et à se sentir plus à l'aise avec le changement. Le Crédi Agricole a investi pas mal dans la formation ces dernières années, mais je suis pas sûre que ce soit suffisant pour accompagner une transformation de cette ampleur. 3% du chiffre d'affaires investi dans la formation, c'est bien, mais est-ce que c'est bien utilisé ?
C'est sûr que c'est pas facile de faire bouger une grosse machine comme le Crédi Agricole, mais je pense que si on met les employés au cœur de la démarche, on a plus de chances de réussir. Faut leur faire confiance et les écouter, parce que ce sont eux qui sont sur le terrain et qui connaissent le mieux les besoins des clients.
Manon67, tu as raison, impliquer les employés, c'est pas juste une question de "gentillesse", c'est un investissement stratégique. Mais faut le faire bien. Par exemple, au lieu de simples boîtes à idées, on pourrait imaginer des simulations de marché internes, où les employés testent de nouveaux produits ou services, et ensuite, ils présentent leurs conclusions directement à la direction. Ca crée un véritable esprit d'innovation et ça valorise leur expertise.
Carl Icahn Bantou17, c'est une bonne idée ces simulations... Mais attention à ne pas transformer ça en une sorte de "Koh-Lanta" bancaire où tout le monde se tire dans les pattes pour impressionner le chef ! Faut garder un esprit de collaboration, sinon, on risque de créer plus de tensions que d'innovations. Un peu de magie, d'humour et de bon sens, voyons !
Commentaires (16)
En pratique, beaucoup dépendra de la réussite de leur transformation. Si leur nouvelle stratégie s'avère payante, il est probable que d'autres institutions chercheront à s'aligner, au moins en partie. Cela dit, chaque banque a ses propres contraintes et spécificités, donc une copie conforme me semble peu probable. On pourrait davantage observer une adaptation des meilleures pratiques issues de cette transformation, si elle porte ses fruits.
Bon, eh bien, figurez-vous que j'ai contacté un ami qui bosse directement au Crédit Agricole 🤫. Il m'a dit que pour l'instant, c'est un peu le branle-bas de combat, mais qu'ils sont plutôt optimistes. Apparemment, l'idée, c'est pas tant de forcer les autres à suivre, mais plus de se positionner comme les "innovateursresponsables" du secteur. Reste à voir si ça prendra, hein 😅... Mais en tout cas, ça bouge ! Merci pour vos éclaircissements ! 🙏
L'optimisme de façade est de rigueur dans ce genre de situation, surtout en interne. Difficile d'imaginer un employé dire ouvertement que le projet est voué à l'échec. Gardons un œil sur les résultats concrets, c'est ça qui parlera au final.
Tout à fait, AtlasCoin. Et cet optimisme, même s'il est un peu forcé, peut avoir un impact psychologique non négligeable sur le moral des troupes. Si les employés y croient, même un peu, ils seront plus enclins à se donner à fond. C'est un peu comme quand on parie sur une action : si on pense qu'elle va monter, on est plus patient et on supporte mieux les fluctuations.
Bien vu, Carl Icahn Bantou17 ! La psychologie, c'est la moitié du boulot, surtout quand on parle de thunes. Faut que les mecs aient envie de se lever le matin, sinon, c'est mort.
Comptedegueux, t'as pigé le truc ! Faut leur vendre du rêve, même si le réveil risque d'être brutal. C'est comme la magie, faut y croire pour que ça marche... ou au moins faire semblant très convaincant !
Dumbledore, ton dernier message soulève un point indéniable : la nécessité de maintenir une narration positive, même si elle frôle la méthode Coué. Cependant, il serait imprudent de s'en tenir uniquement à cet aspect. Les employés doivent adhérer au projet, certes, mais une adhésion basée sur des illusions risque de se fracasser rapidement contre le mur de la réalité. Il faut considérer des indicateurs tangibles, des objectifs clairs et mesurables. Le Crédit Agricole, avec la nomination d'Olivier Bérlorgey (si on en croit les infos qui circulent sur la direction financière et les mouvements attendus en mai 2025), doit impérativement traduire cette vision "innovanteetresponsable" en chiffres concrets. Par exemple, une augmentation de la part de marché dans un segment spécifique de X pourcent d'ici Y années, ou une réduction des coûts opérationnels de Z pourcent grâce à l'implémentation de nouvelles technologies. Sans ces balises, l'enthousiasme initial risque de s'estomper rapidement, laissant place au cynisme et à la désillusion. La psychologie positive est un levier, mais elle ne saurait se substituer à une stratégie solide et à des résultats mesurables. On ne motive pas durablement des équipes avec de simples incantations.
Excellente analyse, AtlasCoin. Tu touches un point sensible. C'est bien beau de faire croire à une success story, mais si derrière y a pas de fond, ça tient pas. C'est comme un soufflé, ça monte, ça monte, et puis pschitt... Et puis faut pas oublier un truc, les employés, ils sont pas idiots. Ils voient bien si les objectifs sont atteignables ou si c'est juste du vent. Si tu leur demandes de faire des trucs impossibles, ils vont se décourager et là, c'est la catastrophe. Faut un juste milieu entre l'ambition et le réalisme, sinon, tu perds tout le monde en route. C'est comme les impôts, trop c'est trop, les gens se barrent.
Pour résumer, on a parlé de l'impact potentiel de la transformation du Crédit Agricole, en soulignant que si leur stratégie fonctionne, d'autres banques pourraient suivre. On a aussi évoqué l'importance de l'optimisme (même forcé) en interne, mais avec la nécessité d'avoir des objectifs clairs et des résultats concrets pour que cet optimisme ne se dégonfle pas.
En effet, AtlasCoin, on pourrait dire que le CA doit joindre le geste à la parole pour que l'adhésion des équipes soit pérenne. Une communication transparente sur les défis, les risques et les objectifs réels me semble tout autant indispensable qu'un discours volontairement enjolivé. Sans cela, la motivation risque de s'éroder, laissant place à la suspicion et, à terme, à un désengagement préjudiciable.
Je pense qu'une solution pour que les employés adhèrent serait peut-être de les impliquer directement dans la définition de ces fameux objectifs. Genre, organiser des ateliers où ils pourraient donner leur avis sur ce qui est réalisable ou pas, et comment ils voient leur rôle dans cette transformation. Ca les responsabiliserait et ils se sentiraient plus concernés, non ?
Manon67, ton idée d'impliquer directement les employés dans la définition des objectifs est pertinente, et je dirais même, cruciale. L'adhésion, on l'a dit, ne se décrète pas, elle se construit. Et quelle meilleure façon de construire que de coconstruire ? En orthophonie, par exemple, on sait que l'implication du patient dans la définition de ses objectifs thérapeutiques est un facteur déterminant de la réussite. Si le patient ne comprend pas pourquoi il fait tel ou tel exercice, s'il n'a pas l'impression d'être acteur de sa propre rééducation, les progrès sont souvent plus lents et moins durables. On parle souvent d'alliance thérapeutique. C'est transposable au monde de l'entreprise, je pense. Dans le cas du Crédit Agricole, cela pourrait se traduire par des groupes de travail thématiques, des enquêtes internes régulières, des plateformes collaboratives où les employés pourraient partager leurs idées et leurs préoccupations. Il faudrait aussi une vraie transparence sur les contraintes et les enjeux, pour que les employés aient une vision claire de la situation et qu'ils ne se sentent pas manipulés. Il serait intéressant d'analyser les chiffres du Crédit Mutuel Arkéa, qui a mis en place un modèle assez participatif. On pourrait comparer leur taux d'engagement des employés avec celui d'autres banques plus traditionnelles. Je suis persuadé qu'il y aurait des enseignements à en tirer. Une étude de la DARES de 2023 montre que les entreprises avec un fort niveau d'implication des salariés ont une productivité supérieure de 15% en moyenne. Ce n'est pas négligeable. L'idée d'impliquer les employés dans la définition des objectifs n'est pas une solution miracle, mais c'est un levier puissant pour favoriser l'adhésion et la motivation. Encore faut-il que cette implication soit sincère et non instrumentalisée. C'est là tout le défi.
LogosSavant65, votre approche est pertinente. L'analyse comparative avec le Crédit Mutuel Arkéa et les données de la DARES viennent appuyer l'idée d'une implication accrue des salariés. Des indicateurs clairs sont indispensables. 👍 La transparence doit primer. 🏦
AtlasCoin, je suis d'accord, la transparence c'est hyper important ! C'est la base pour que les gens se sentent respectés et qu'ils aient envie de s'investir. Et puis, je pense qu'il faut aussi que les objectifs soient alignés avec les valeurs de l'entreprise, mais aussi avec celles des employés. Si on leur demande de faire des trucs qui vont à l'encontre de ce en quoi ils croient, ça va être compliqué. Par exemple, si le Crédi Agricole veut se positionner comme "innovateursresponsables", il faut que ça se traduise concrètement dans leurs actions, et pas juste dans leur communication. Sinon, ça va sonner faux. Et puis, il faudrait peut-être repenser la façon dont on évalue la performance des employés. Si on se contente de regarder les chiffres à court terme, on risque de passer à côté de trucs importants, comme la qualité du service client ou l'impact environnemental des activités de la banque. Une étude de l'ESSEC Business School a montré que les entreprises qui intègrent des critères extra-financiers dans leur évaluation de performance ont une meilleure performance globale à long terme. Faut voir plus loin que le bout de son nez, quoi ! Autre truc : la formation. Si on demande aux employés de s'adapter à de nouvelles technologies ou à de nouvelles façons de travailler, il faut leur donner les moyens de le faire. Des formations régulières, du mentorat, du coaching... Tout ça, ça peut aider les employés à monter en compétence et à se sentir plus à l'aise avec le changement. Le Crédi Agricole a investi pas mal dans la formation ces dernières années, mais je suis pas sûre que ce soit suffisant pour accompagner une transformation de cette ampleur. 3% du chiffre d'affaires investi dans la formation, c'est bien, mais est-ce que c'est bien utilisé ? C'est sûr que c'est pas facile de faire bouger une grosse machine comme le Crédi Agricole, mais je pense que si on met les employés au cœur de la démarche, on a plus de chances de réussir. Faut leur faire confiance et les écouter, parce que ce sont eux qui sont sur le terrain et qui connaissent le mieux les besoins des clients.
Manon67, tu as raison, impliquer les employés, c'est pas juste une question de "gentillesse", c'est un investissement stratégique. Mais faut le faire bien. Par exemple, au lieu de simples boîtes à idées, on pourrait imaginer des simulations de marché internes, où les employés testent de nouveaux produits ou services, et ensuite, ils présentent leurs conclusions directement à la direction. Ca crée un véritable esprit d'innovation et ça valorise leur expertise.
Carl Icahn Bantou17, c'est une bonne idée ces simulations... Mais attention à ne pas transformer ça en une sorte de "Koh-Lanta" bancaire où tout le monde se tire dans les pattes pour impressionner le chef ! Faut garder un esprit de collaboration, sinon, on risque de créer plus de tensions que d'innovations. Un peu de magie, d'humour et de bon sens, voyons !